Comment dissocier l’une de l’autre ? D’un côté vous avez ce bon produit issu de l’animal. Élevés avec passion pour satisfaire nos appétits les plus aigus et de l’autre la nature qui fait pousser doucement plusieurs plantes utiles à son assaisonnement. 

Vous vous retrouvez avec un cocktail d’aromates plein de milles saveurs utiles pour vous faciliter la cuisson. Comment résistez-vous ? 

Traditionnellement on appelle ces herbes les herbes de Provence mais ce n’est qu’une appellation comme la moutarde de Dijon. Vous croyez vraiment qu’elles viennent toutes de cette ville ? 

Quelques artisans subliment les aromates pour votre bonheur. À partir de plantes poussant localement et de manière sauvage vous avez des parfums sans nul pareil.

 Il faut savoir qu’une plante dans son environnement initial se débrouillera pour fabriquer plus d’essence pour se protéger de l’agression du soleil. Et oui ce sont les essences que l’on retrouve dans notre palais. Tout est lié, comme le disait Lavoisier rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. 

Nous parlons ici des aromates et non des épices d’orient. Je suis d’accord ils ne viennent plus tellement d’orient à ce jour. C’est parce qu’un certain monsieur se décarcasse 😉. Les épices sont une catégorie bien spécifique de plantes séparées en neuf branches. 

Revenons au principal à la viande. Chaque viande demande à être assaisonnée correctement, par exemple pour de l’agneau on va utiliser du romarin qui va accompagner magnifiquement son goût déjà très prononcé. 

Pour un steak haché on va finement saupoudrer quelques grammes d’un mélange d’aromate pour pouvoir sentir son goût sans mettre de note trop haute pour l’accompagner. Il y a tellement de viande et d’accompagnement possible que ce serait un sacré gage de toutes les références ici. 

Les aromates conviennent aussi au poisson ou aux légumes mais ceci est un autre article que je ne développerai pas maintenant.